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      TikTok Lite – l’UE exige des réponses sur la version rémunérée

      news.movim.eu / Korben · 5 days ago - 07:09 · 2 minutes

    Aïe aïe aïe, on dirait bien que ce cher TikTok s’est encore fourré dans un sacré pétrin ! Figurez-vous que ces petits malins ont eu la riche idée de lancer en douce une nouvelle fonctionnalité dans leur app, sobrement intitulée « Task & Rewards « , dispo en France et en Espagne. Jusque-là, rien de bien méchant, me direz-vous sauf que voilà, cette version soi-disant « light » du réseau social cache en fait un système de récompenses qui paye les utilisateurs en échange de leur fidélité. Et ça, ça ne plaît pas du tout à l’ Union Européenne !

    En effet, la Commission Européenne vient de sortir l’artillerie lourde en exigeant des réponses de la part de TikTok dans un délai de 24 heures. Pourquoi tant de précipitation ? Eh bien figurez-vous que cette nouvelle fonctionnalité « Task & Rewards » qui rémunère les utilisateurs de plus de 18 ans à coup de bons d’achat ou de « coins » virtuels en échange de leur attention, inquiète.

    Toute d’abord, on peut légitimement se poser la question de l’impact d’un tel système sur la santé mentale des utilisateurs , et en particulier des plus jeunes. Parce que bon, encourager les gens à scroller comme des zombies pour gratter trois cacahuètes, c’est quand même un peu limite… Surtout quand on sait à quel point les réseaux sociaux peuvent générer des comportements addictifs. La Commission s’inquiète notamment de l’efficacité de la vérification de l’âge des utilisateurs et de la gestion des plaintes par la plateforme.

    Ensuite, il y a la question épineuse de la protection des données personnelles parce que pour distribuer ses récompenses, TikTok va forcément récolter encore plus d’infos sur nos habitudes, nos goûts, nos clics… Bref, de quoi remplir gentiment sa base de données, nourrir son algorithme et cibler toujours plus finement les utilisateurs.

    Et là, l’UE ne rigole pas, elle veut des réponses, et vite !!!

    TikTok a donc 24 heures chrono pour fournir son évaluation des risques liés à ce nouveau programme et s’il s’avère que la boîte chinoise a encore une fois voulu capturer toutes nos données sans prendre les précautions qui s’imposent, ça risque de chauffer pour son matricule ! La Commission a des pouvoirs qui pourraient potentiellement forcer TikTok à revoir entièrement, voire stopper son modèle économique si des impacts toxiques son relevés.

    Bien sûr, TikTok assure qu’il a pris toutes les dispositions nécessaires, genre limiter l’accès à la fonctionnalité « Task & Rewards » aux plus de 18 ans, plafonner les récompenses à environ 1€ par jour et limiter le temps passé quotidiennement sur l’app, pour gratter des points, à seulement une heure. Mais bon, on ne va pas se mentir, ça ressemble quand même furieusement à une stratégie pour garder les gens le plus longtemps possible sur la plateforme. Comme d’hab quoi.

    Les associations de consommateurs en Europe avaient déjà tiré la sonnette d’alarme sur l’UX / UI de la plateforme, notamment l’utilisation de monnaie virtuelle pour créer des incitations à l’engagement. Mais à en juger par la surveillance exercée par la Commission sur l’approche de l’app chinoise en matière de conformité au Digital Services Act (DSA) , celle-ci devra peut-être aller plus loin pour satisfaire les responsables de ce nouveau règlement européen.

    Alors attention TikTok, l’UE a l’œil sur toi !

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      Sans le savoir, vous êtes sûrement atteint de nomophobie

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 25 January - 09:05

    Smartphone

    Une nouvelle étude pointe du doigt un mal persistant chez les adultes français.
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      One Sec, l’application anti-addiction aux médias sociaux

      news.movim.eu / Korben · Wednesday, 14 June, 2023 - 07:00 · 3 minutes

    Il y a quelque temps, j’ai découvert une application fascinante appelée One Sec . Cette petite merveille n’a qu’un seul objectif : vous aider à reprendre le contrôle de votre temps et de vos habitudes sur les médias sociaux.

    Si vous êtes conscient du temps incroyable que vous passez sur les réseaux sociaux comme Facebook, Instagram et Twitter, vous savez que votre smartphone est à la fois votre meilleur ami et votre pire ennemi.

    Alors pour vous aider, il y a des solutions comme One Sec qui peut vous permettre de réduire votre addiction aux médias sociaux en vous obligeant à prendre une profonde respiration chaque fois que vous ouvrez TikTok, Instagram, Twitter et j’en passe.

    L’idée de base est simple et assez astucieuse. Cela consiste à ajouter une étape intermédiaire entre votre envie de consulter les médias sociaux et l’action elle-même. Grâce à One sec, adieu la gratification instantanée offerte par les médias sociaux, qui du coup deviennent moins attrayants en raison de cette petite friction ajoutée.

    Ainsi, on arrête de consulter compulsivement nos notifications pour obtenir une nouvelle dose de dopamine à chaque fois qu’une aide visuelle nous rappelle que nous avons des mentions « J’aime » ou des commentaires à lire.

    Ne rigolez pas, c’est très sérieux ! Développée avec l’aide de psychologues et d’experts en expérience utilisateur, One sec peut transformer le quotidien des accros aux réseaux sociaux. Certains parlent d’une réduction d’utilisation autour de 50% en moyenne, ce qui représente quand même 2 semaines par an pour faire autre chose et surtout réduire les symptômes de dépression et d’anxiété liés à l’utilisation de ces apps.

    Et ce n’est pas juste moi qui le dis ! Des études scientifiques menées par l’Institut Max-Planck en Allemagne et l’Université de Heidelberg ont confirmé l’efficacité de cette approche.

    Pour installer et configurer One sec, c’est un jeu d’enfant si vous êtes sous Android. Et sous iOS, c’est un peu plus relou parce qu’il faut passer par les « Raccourcis » Apple, mais il y a tous les tutos qui vont bien pour faire ça.

    Ensuite, vous choisissez simplement les applications que vous souhaitez bloquer, comme Facebook, Instagram, Twitter, WhatsApp, TikTok ou toute autre application, et One sec se charge du reste. Quand vient l’heure de consulter ces médias sociaux, One sec vous fait patienter et vous oblige à vous interroger sur la raison pour laquelle vous voulez les consulter. Cela dans le but de vous aider à passer moins de temps devant votre écran.

    Une fois cette petite pause écoulée (entre 1 et 5 minutes, selon vos préférences), l’application vous envoie une notification pour vous rappeler votre intention et vérifier si vous la suivez encore ou si vous avez décidé de changer d’avis. Notez que durant ces sessions de concentration, One Sec ne vous permettra pas non plus d’ouvrir les applications choisies de manière frénétique ou automatique.

    Et le plus beau là-dedans, c’est que vous pourrez suivre vos progrès grâce à de jolis graphiques et comparaisons.

    Au-delà de la simple réduction du temps passé sur les médias sociaux, One Sec me suggère également des alternatives saines pour remplacer ces mauvaises habitudes. Par exemple, si j’ai envie d’aller sur Facebook, One Sec me rappelle que je pourrais plutôt regarder des photos de famille, faire du sport, appeler un ami, boire de l’eau (et uniquement de l’eau ^^), lire 1 ou 2 pages d’un bouquin, ou écouter de la musique / un podcast.

    Ce ne sont que quelques-unes des options proposées, et vous pouvez même personnaliser l’application pour inclure vos propres activités favorites (oui, ça aussi bande de dégoutants).

    Bref, à tester pour tous ceux qui veulent décrocher. Et n’oubliez pas, vous pouvez y arriver !!!

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      Sacklers gave $19M to National Academies amid influential pain, opioid reports

      news.movim.eu / ArsTechnica · Tuesday, 25 April, 2023 - 13:13 · 1 minute

    Protesters holding banners outside the courthouse. Members of P.A.I.N. (Prescription Addiction Intervention Now) and Truth Pharm staged a rally and die-in outside New York's Southern District Federal Court in White Plains, where Purdue Pharmaceuticals bankruptcy hearing is being held.

    Enlarge / Protesters holding banners outside the courthouse. Members of P.A.I.N. (Prescription Addiction Intervention Now) and Truth Pharm staged a rally and die-in outside New York's Southern District Federal Court in White Plains, where Purdue Pharmaceuticals bankruptcy hearing is being held. (credit: Getty | Erik McGregor )

    Members of the Sackler family—the infamous, mega-wealthy family largely seen as sparking the nationwide opioid epidemic—donated roughly $19 million to the National Academies of Sciences, Engineering and Medicine while the organization drafted two reports that influenced national policies around opioids, according to an investigation by The New York Times .

    The revelation is another glimpse at the extent to which the Sacklers apparently tried to manipulate science and policy to plump its profits. The report also raises questions as to why the National Academies has been quiet about the donations and has not conducted a review of whether the funds and other potential conflicts of interest influenced its reports. The Times notes that in 2019, the World Health Organization retracted two opioid guidance documents after a review backed up concerns that the drafting process had been influenced by opioid manufacturers, including the Sacklers' Purdue Pharma.

    Members of the Sackler family owned and largely directed Purdue Pharma in the late 1990s when the company allegedly began aggressively and deceptively selling its highly addictive opioid painkiller, OxyContin. The Sacklers are estimated to have raked in more than $10 billion from opioid sales in the years after.

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      Scroller, cliquer, acheter : quand le shopping en ligne vire à l’addiction

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 23 March, 2023 - 06:30

    L’illusion du choix infini et les promotions incessantes condamnent-elles les internautes à succomber à la fièvre acheteuse ? Une question légitime, alors que les plateformes d’e-shopping perfectionnent leurs techniques pour capter l'attention, et que les réseaux sociaux mettent en avant des trouvailles à bas prix. [Lire la suite]

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      « Si ce n’est pas sur Strava, ça n’a pas existé » : les apps de suivi gâchent-elles le sport ?

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 2 January, 2023 - 07:20

    L’application Strava est aujourd’hui utilisée par 100 millions de sportifs dans 195 pays. Permettant à tous les sportifs amateurs de partager leurs statistiques, des communautés sociales se sont créées et occupent aujourd’hui un rôle majeur dans la motivation de nombreux passionnés de course à pied ou du cyclisme. Mais que fait la publication instantanée et systématique des statistiques sportives sur la pratique du sport amateur ? Nous sommes allés à la rencontre de l’un des plus fervents utilisateurs de l’application, l’ultra-traileur surnommé Casquette Verte. [Lire la suite]

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      Fortnite trop addictif ? Des parents attaquent Epic Games en justice

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 13 December, 2022 - 07:30

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    Les enfants arrêtent de manger, dormir et se doucher pour jouer au battle royale ? C'est ce qu'avancent des parents pour faire pression.

    Fortnite trop addictif ? Des parents attaquent Epic Games en justice

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      Juul settles massive nationwide probe into youth vaping for $438.5M

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 7 September, 2022 - 21:41 · 1 minute

    A young man wears a shirt that reads DITCHJUUL while James Monsees, co-founder and chief product officer at JUUL Labs Inc., testifies before the House Economic and Consumer Policy Subcommittee, which is examining JUUL's role in the youth nicotine epidemic, on July 25, 2019, in Washington, DC.

    Enlarge / A young man wears a shirt that reads DITCHJUUL while James Monsees, co-founder and chief product officer at JUUL Labs Inc., testifies before the House Economic and Consumer Policy Subcommittee, which is examining JUUL's role in the youth nicotine epidemic, on July 25, 2019, in Washington, DC. (credit: Getty | Mark Wilson )

    Disgraced e-cigarette maker Juul has agreed to pay $438.5 million to 33 states and Puerto Rico to settle an investigation into whether the vaping giant deceptively marketed its products and intentionally targeted children and teens, who are most vulnerable to nicotine addiction .

    The mammoth settlement comes as the company continues its fight for survival with the US Food and Drug Administration. In June, the FDA made the dramatic move of denying marketing authorization for all Juul products, effectively forcing the e-cigarette maker off the US market . Juul quickly won administrative stays, though, and the FDA announced in July that it would re-review Juul's products . In the meantime, the company is allowed to continue selling its products, but its ultimate fate remains precarious.

    The legal settlement and regulatory uncertainty are the latest fallout from Juul's alleged role in fueling a nationwide "epidemic" of youth vaping, which peaked in 2019. Juul became notorious for appealing to children and teens as vaping among middle and high school students skyrocketed.

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      FDA backpedals on Juul ban, says it’s re-reviewing company’s “unique” issues

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 7 July, 2022 - 22:53 · 1 minute

    An attractive young person smokes an e-cigarette.

    Enlarge / Juul used a fashionable, "cool" marketing strategy before backlash. (credit: Mass.gov )

    The US Food and Drug Administration on Tuesday paused a decision that would effectively force Juul off the US market. On Wednesday, the two sides agreed to put their court battle on hold as the regulator conducted an additional review of Juul's products.

    For people who use Juul products, the new development doesn't change much for now: A panel of federal appeals court judges had already issued an administrative stay on June 24, which meant Juul products could remain on the market while the company fought the FDA's denial of its marketing authorization request in court. But, in the longer term, it represents an embarrassing backpedal by the FDA and signals that Juul may have a good chance of permanently reversing the denial.

    On June 23, the FDA announced that it denied US marketing authorization for all Juul products , effectively forcing the company off the e-cigarette market it previously dominated. Though the FDA's decision had been leaked to the press the day before, it still jolted industry watchers, consumers, and Juul, which said in court documents it first got wind of the decision through the press leak.

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